FESTIVAL- DANS LA SERIE DES INAPERCUS…
par Guillaume
Nous y étions déjà l’an passé, c’est donc l’heure du grand retour au Glaz Art pour la cinquième édition de ce festival, basé sur le merveilleux principe de la découverte (il devrait n’y avoir que celui-là). Aujourd’hui, ultime soirée, avec un gros gâteau : les Inaperçus fête leurs cinq ans !
Pour l’occasion, ce sont d’anciens inaperçus qui mènent le bal en version intimiste et acoustique… et ça commence avec Yann Savel, seul avec sa guitare, pour un court set inspiré… ensuite, place à Mendelson. Brrr. La température baisse de quelques degrés. C’est le tour de Christian Quermalet, le Married Monk en solitaire, pour un concert poignant, achevé avec une sublime reprise des Smiths, « Last Night I dreamt that Somebody Loved me »… une ferveur quasi religieuse règne au Glaz’ Art… du grand art.
Ce qui ne facilite pas la tâche du gars Matthias, de Dyonisos, dont les sautillements laissent un peu froid le public. Pourtant il y met du sien, invite sa copine (charmante) à venir chanter une reprise (très moyenne) de « Playground Love » de Air, mais difficile de succéder à Monsieur Quermalet ce soir…
Bon, voilà, reste à dire rituellement « à l’année prochaine ! »… Les deux coups de coeur de cette année ? Marteen et Orwell… on espère qu’ils auront le même destin que leurs glorieux ainés.