Formé il y a une vingtaine d’années à Brooklyn, Woods a sorti depuis une douzaine d’albums, auxquels il faut ajouter une ribambelle de split singles, cassettes, fichiers, enregistrements live… Cette profusion, ainsi qu’un certain goût pour l’expérimentation et le bidouillage lo-fi et une image vaguement néo-hippie, ont pu donner l’impression d’un groupe difficile à cerner. Le mieux est d’écouter les disques, comme “With Light and With Love” et “City Sun Eater in the River of Light” qui les ont fait connaître en Europe au milieu des années 2010, ou le dernier, “Perennial” (2023). On y découvrira un folk-rock mélodieux et souvent lumineux, teinté de psychédélisme et de « musiques du monde ». Ces albums sont sortis sur Woodsist, label créé par Jeremy Bradley Earl, le chanteur et guitariste de la formation, qui accueille aussi des musiciens et groupes amis.
Ce dernier, qui vient de dévoiler un EP solo au ton un peu plus introspectif et méditatif que les disques de Woods, se produira au Point éphémère le lundi 14 avril à 20h. L’occasion, sans doute, d’entendre ses propres chansons ainsi que des titres de son groupe. Les places se prennent notamment ici.
Un Woods sort du bois au Point éphémère

Aymeric
Très bon concert, malheureusement peu de monde, le prix des places a du jouer…
(25€ pour un concert solo !)