Un peu cancre, je finis au bout de quelques titres par sécher le concert de Murat. Même en formation resserrée (guitare, basse, batterie), on finit par avoir l’impression que ça se traîne quelque peu, on trouve ça très bien pendant quelques titres en se disant, quand même, il est fort ce Jean-Louis et après quelques beaux moments de grâce, quelques beaux moments d’écorchures rock’n’roll, on dit pouce, ne pouvant s’empêcher d’attendre mieux de la part de l’auvergnat, qui, pas sport, refuse d’interpréter « Stairway to Heaven » à la demande d’un Anglais du fond (qui lui donnait même gentiment les accords).
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