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St Christopher – Interview

ST CHRISTOPHER [version anglaise]

Groupe culte et, par conséquent, trop vite oublié, St Christopher a écrit plusieurs des plus belles pages de l’histoire de deux labels anglais incontournables de la fin des années 80/début des années 90 : Sarah et Vinyl Japan. Mais plus qu’un simple phénomène d’écurie, St Christopher nous a légué au moins deux chefs-d’oeuvre de pop sombre et romantique, « Bacharach » (Sarah, 1989) et « Man, I could Scream » (Vinyl Japan, 1991). Glenn Melia, le génie humble qui se cache derrière toute cette carrière exemplaire, nous a fait l’honneur de répondre à nos questions. Une occasion révée de réviser vos classiques avant son retour sur les planches parisiennes dimanche prochain (le 19) au Pop In (gratuit donc pas d’excuses)…

Quand est officiellement né St Christopher ?
OOOHHH, probablement dans la première moitié des années 80 – ce qui suffit à dire que St Christopher en est maintenant à sa troisième décennie et à son deuxième siècle.

Est-ce que c’était ton premier groupe ?

A part un groupe à l’école qui s’appelait Vena Cava, oui.

Quelles sont tes principales influences ?
Principalement des grandes chansons pop, avec un bon chant, des mélodies puissantes et probablement au moins un accord mineur.

Quand et où écris-tu généralement tes chansons ?
Habituellement à la maison ou en studio mais seulement lorsque j’en ai besoin pour un album ou un single, etc. Je ne suis pas de ceux qui « s’asseyent et écrivent » comme si c’était un mode de vie.

Tu as dit que tu étais capable d’écrire seulement quand tu étais triste, est-ce toujours d’actualité ? Est-ce que le processus de création est quelque chose de douloureux pour toi ?
Je ne me rappelle pas quand j’ai dit ça ?! De toute façon, je pense que ce n’est plus vrai. Ecrire, c’est quelque chose de très difficile parfois étant donné qu’il y a de nombreux ingrédients à considérer pour construire une chanson. Et je déteste écrire des paroles !

Il y a beaucoup de noms de filles dans tes chansons (Natasha, Antoinette). Ils sont tous tirés de ta vie privée ?
Malheureusement non – Je ne connais pas beaucoup de filles avec des prénoms exotiques ! En fait, j’ai effectivement rencontré une fille charmante qui s’appelait Natasha, à un concert que nous avions donné à Charleville-Mézières.

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